Après la libéralisation du secteur cimentier dans les années 1980 un vaste programme a été mené afin de répondre à la croissance de la demande de ciment.
Ces efforts ont permis d’assurer un approvisionnement régulier et continu du marché et de contribuer à l’autonomie nationale pour un produit clé pour la croissance du pays, tout en évitant de puiser dans les réserves de changes et de creuser le déficit commercial.
Depuis 2012, et en dépit de la tendance baissière de la demande, de gros investissements ont été maintenus en vue d’anticiper sa reprise et d’assurer une large couverture nationale.
Le dispositif industriel des membres de l’APC comprend 14 usines et 7 centres de broyage.
Il atteindra au courant de l’année 2024, une capacité de production nominale annuelle de ciment de 24,6 Mt.